Se noyer dans le chagrin
The Nepali Times Mukesh Pokhrel à Dhanusa 10 novembre 2021
Enfants qui ont perdu la vie dans les fosses et fossés laissés par les entrepreneurs : (dans le sens des aiguilles d'une montre) Riya Bishwakarma, Sushil Layomagar, Aditya Layomagar, Jasmine Khatun, Suman Mahato, Anil Mahato, Karuna Bishwakarma et Samma Khatun. Toutes les photos : MUKESH POKHREL/HIMAL
Malgré les protestations, les entrepreneurs d'extraction de sable et de carrières ont continué à laisser de grandes fosses abandonnées le long des rivières népalaises dans lesquelles des enfants se noient par dizaines chaque année.
Il n'y a pas de décompte exact du nombre d'enfants qui se noient à chaque mousson et perdent la vie dans les fosses et les fossés laissés par les entrepreneurs d'extraction de sable parce que la police n'enregistre ces décès que comme des « morts par noyade » généralisées. Suite de l'article Se noyer dans le chagrin